lundi 30 septembre 2013

LA PASSION D'UN METIER: COUVREUR


METIER DE PASSION/COUVREUR ZINGUEUR

ANALYSE DE COUVREUR ZINGUEUR A VD-COUVERTURE91

Autonome, responsable, aimant le travail en hauteur, possédant une bonne acuité visuelle et auditive, prudent, précis, agile et rigoureux, autant de qualités que doit avoir un couvreur-zingueur de vd-couverture91. Hormis l’exigence d’une bonne condition physique, tout couvreur-zingueur doit également être apte à prendre des décisions, à s’adapter à toutes les difficultés pouvant apparaître sur un chantier, à veiller à respecter les règles de sécurité. Il doit pouvoir se repérer aisément dans l’espace, avoir des connaissances en arithmétique et savoir travailler en équipe.

Le métier de couvreur-zingueur est un métier classé dans le secteur du bâtiment et de la couverture. Travaillant essentiellement dans de petites entreprises du BTP, le couvreur-zingueur est très demandé sur les chantiers de rénovation et de construction. Dans cet article, nous commencerons par traiter de la nature du métier de couvreur-zingueur, nous continuerons ensuite avec les avantages et les inconvénients offerts par ce métier, avant de donner les informations concernant les formations, les salaires et les débouchés qui y sont liés.

La nature du métier de couvreur-zingueur chez vd-couverture91

Sur un chantier, les tâches du couvreur-zingueur s’effectuent immédiatement après celles du charpentier. Il est notamment chargé d’effectuer les préparatifs avant la réalisation des travaux. Au stade des préparatifs, il se renseigne sur la nature du chantier (qu’elle soit en construction, en rénovation ou en entretien), sur la nature de la construction (s’il s’agit d’une maison individuelle, d’un immeuble, d’un édifice public), sur la forme du toit (en arrondi, plat, pointu) ainsi que sur les angles, sur les règles esthétiques à respecter en rapport avec le style spécifique ou régional du bâtiment, sur la nature du vent pour établir les équipements adaptés, et enfin, sur les décisions prises par l’architecte et le commanditaire des travaux. Les matériaux utilisés sont nombreux et divers tels que l’ardoise, la terre cuite, les métaux, le zinc, le cuivre, l’inox ou le plomb. Toutefois, la tuile plate ou mécanique est la plus utilisée, et ce, avec des méthodes aussi bien modernes que traditionnelles. Lors de phase de réalisation, il travaille seul ou en équipe et en plusieurs strates pour réparer la toiture. Il se charge, dès lors, de la mise en place des échafaudages, des équipements de sécurité, de la pose de film plastique ou de feutre sur la charpente et les chevrons, avant de clouer de fines planches de bois ou contre-lattes sur les chevrons. Ensuite, il quadrille le toit avec des lattes ou liteaux, petites planchettes en bois sur lesquelles les tuiles seront posées, tout en calculant avec précision la distance entre deux lattes. Compte tenu de la grosseur et de la surface de recouvrement des tuiles, cette opération est appelée « calcul du pureau ». Par ailleurs, il doit diviser la surface du toit à l’aide d’un cordeau en effectuant des points de repère, toutes les six tuiles, afin que les tuiles ne débordent pas du toit dans le sens de la largeur. Les tuiles sont réparties par paquets de six sur les emplacements et sont préalablement marquées et posées du bas du toit vers le haut ou faîtage. Elles tiennent notamment grâce à un ergot placé derrière elles. Puis, on procède à la zinguerie, en posant un cadre métallique tout autour de la cheminée ou abrègement de cheminée, ainsi qu’au pied des lucarnes de la toiture. Le couvreur-zingueur pose par la suite des chenaux pour prévenir l’infiltration d’eau. Quand les travaux sont terminés, il nettoie le chantier et range les échafaudages. En outre, il réalise l’ensemble de la protection des parties en saillie d’une construction tels que les balcons, les bandeaux. Enfin, il pose les gouttières et peut assurer des travaux courants de charpente et de plomberie et de chauffage.

Les avantages et les inconvénients du métier de couvreur à vd-couverture91

Le métier de couvreur-zingueur est un travail polyvalent, autonome et très recherché dans le secteur du bâtiment et de la couverture. Il s’agit également d’un métier à risque, du fait du travail en hauteur pouvant causer d’éventuels accidents, mais également du fait des intempéries, des positions de travail souvent inconfortables tels que l’agenouillement ou l’accroupissement. De plus, c’est un métier impliquant de fréquents déplacements.Venez nous découvrir via le site internet de vd-couverture91 http://www.vd-couverture91.fr 

dimanche 29 septembre 2013

VOTRE TOIT VOTRE COUVREUR


UN COUVREUR SUR VOTRE TOIT
VD-COUVERTURE UNE ENTREPRISE A VOTRE SERVICE
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Une évidence quand on connait le nombre impressionnant de types de couvertures ayant existé, dont la chaume, la tuile, l’ardoise, la lause ne sont que quelques exemples connus de tous…Et, bien sûr, à chaque technique correspondait le vocable qualifiant l’artisan chargé de bâtir ou de réparer les toitures : chaumier, bardeautier, escailier, lavier, lauseur, j’en passe des plus typiques.
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Ne perdons pas un temps précieux avec l’étymologie du vocable qui est un simple dérivé du verbe couvrir, lui-même emprunté au latincooperire de même sens, ce qui constitue, somme toute, l’œuvre du couvreur qui coiffe les combles d’un bâtiment et forme ainsi sa toiture. Et, comme disait Coluche, parlons de toit…

Associé au maçon et au charpentier.
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A la différence de nombreuses autres corporations de gens de métier, autrement dit ces associations de professionnels de défense… corporatiste, on sait peu de chose sur les couvreurs. Parfois associés aux maçons, parfois aux charpentiers, ils n’ont formé leur propre guilde qu’au tout début du XVIIIe siècle même s’ils ont toujours obéi, comme leurs confrères du bâtiment, aux règles du compagnonnage. Et ce jusqu’à la Révolution quand la liberté d’exercer un métier fut établie, signant de facto la fin de ces corporations au sens strict du terme et non dans son acception actuelle.
Un artisan enfin reconnu.
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Bien que rien ne le démontre formellement, il semble que les couvreurs, aux temps jadis, ne bénéficiaient pas de l’aura de leurs compagnons charpentiers avec lesquels, pourtant, ils finiront par former des coteries, des artisans fiers de leur travail sur les hauteurs des bâtiments. D’ailleurs, le vocable couvreur n’est pas attesté avant le XIIIe siècle, parfois sous la graphie couvreres puis couvreux. Peut-être parce qu’ils n’interviennent qu’après l’ouvrage des autres artisans ou plus certainement parce qu’ils ne fabriquent rien, se « contentant » de disposer des éléments qui formeront couverture.
Ce n’est qu’au XIVe siècle qu’ils recevront des statuts publics qui organiseront la profession en maîtres-couvreurs, compagnons et apprentis. Mais surtout, ces statuts les protégeaient en interdisant aux maçons et aux charpentiers d’œuvrer à la couverture sous peine d’astreinte, comprenez : une amende.

Des techniques multiples.
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Ce qui ne les empêchait pas de maîtriser toutes sortes de techniques, œuvrant au fil des siècles avec des matériaux aussi divers que les tuiles de bronze ou de plomb, la chaume et autres fougères, les pierres de toutes sortes ou les tuiles.
Ainsi, on trouvait les lauseurs typiques des régions montagneuses où l’on accédait aisément au matériau de base, la lauze, autrement dit une plaque de pierre qui peut être de nature volcanique en Auvergne (on les appelle alors laves, posées par des laviers), calcaires dans les causses et en Périgord, voire de schiste dans les Cévennes. Ou bien les chaumiers attachés aux toits de chaume même si depuis les temps reculés les paysans se fabriquaient eux-mêmes leurs couvertures de chaume à l’aide de roseaux ou de paille. Ou encore les bardeautiers qui affinèrent une technique pourtant simple que les manants utilisaient couramment, qui consiste à protéger la charpente avec des planchettes de chêne, de châtaignier, de sapin, bref du bois disponible localement ; des tuiles de bois aux appellations aussi diverses que essentes, esseurions, bardeaux, aisseaux, aissantes. Et enfin les couvreurs d’ardoises qu’on dénommait escailier, scailteux ou scalteur dans le Nord, par analogie des tuiles d’ardoise aux écailles de poisson.

Le plombier-zingueur.
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On ne le sait pas forcément mais la plomberie, à l’origine, ne consistait pas à équiper des salles de bains et autres sanitaires, mais à travailler le plomb qui était alors battu ou fondu pour couvrir les édifices et protéger toutes les parties de la charpente éventuellement soumises aux intempéries. Une technique fort répandue à l’époque mérovingienne et au Moyen-Age notamment, directement héritée des Romains et qui se poursuivra jusqu’à la Renaissance. Les plombiers seront donc heureux d’apprendre qu’initialement ils étaient… couvreurs ! Dont il reste aujourd’hui trace avec la profession de plombier-zingueur qui pose descentes, gouttières, raccords de cheminées, gaines, en utilisant toutes sortes de matériaux métalliques : zinc, bien sûr, mais aussi cuivre, inox, aluminium, acier..
VD-COUVERTURE91 site internet http://www.vd-couverture91.fr 

samedi 28 septembre 2013

CONSEIL DE VD-COUVERTURE91
http://www.entreprisedecouverture91.fr 

Quand la couverture d'une maison n'est pas parfaitement étanche, la pourriture des bois de charpente est assurée, tout comme la dégradation des plafonds et des enduits et, à plus longue échéance, une imprégnation des murs en profondeur. La réfection ou la réparation de la couverture sont donc une priorité.
Premiers diagnostics et remèdes
La méthode qui consiste à poser la main sur un mur n'est pas infaillible : notre sens du toucher pouvant confondre froid et humidité. L'idéal est l'humidimètre. À l'aide de cet appareil, on peut tester toutes sortes de matériaux ou de supports. Accessoire indispensable par ailleurs : la paire de jumelles. Elle permet, sans avoir à monter sur le toit, de regarder de près les désordres et de se faire une première opinion. Cependant, rien ne remplace l'examen direct, en sous-toiture ou à partir d'un châssis de toit. De là, différentes observations sont possibles.
1. Aucune fuite, l'ensemble est en bon état
Tout va bien mais pensez à surveiller régulièrement les accumulations de mousses et éliminez les avec un produit adapté. Vérifiez également la porosité des éléments de couverture, des tuiles en terre cuite notamment. Assurezvous qu'ils ne sont ni déplacés ni détachés. Contrôlez la porosité des souches de cheminée (traces brunes de suie).
2. Quelques fuites ponctuelles, mais l'état général est bon
Vérifiez si le matériau de couverture n'est pas fendu, si les solins (étanchéité réalisée en ciment autour des souches de cheminées) ne sont pas disloqués. Examinez l'état des gouttières et des descentes, la zinguerie des noues (étanchéité autour des lucarnes ou entre deux versants de toit). Le remplacement des éléments de couverture et des rives (cassées ou manquantes) se révèle parfois nécessaire.
3. État moyen, mais pas encore de fuites à signaler
Vérifiez si le faîtage n'est pas descellé, si les éléments de couverture sont bien attachés (ergots en sousface des tuiles, crochets ou clous pour les ardoises...), si les liteaux qui les supportent ne sont ni cassés, ni affaissés, ni pourris. Examinez attentivement la bonne étanchéité des arêtiers.
4. L'ensemble de la toiture est délabré et fuit abondamment
Une seule solution : il vous faut refaire la totalité de la couverture en récupérant et en remaniant les composants ou en les remplaçant par des produits neufs. Et changer les liteaux d'accrochage en bois, voire les chevrons déficients.
Matériaux neufs ou d'occasion ?
Le choix dépend de la pente du toit et de la solidité de la charpente. Ainsi, certains changements de matériaux sont à exclure, comme le remplacement de la tuile canal ou à emboîtement par de la petite tuile plate ou de l'ardoise si la charpente n'a pas été conçue pour une telle surcharge.
Principaux remaniements envisageables :
- Si une bonne partie des éléments de la couverture est récupérable, les déposer avec soin, arracher et remplacer les liteaux. Le complément de tuiles peut être acheté d'occasion pour s'harmoniser avec celles qui ont été récupérées. Notre avis : une tuile de récupération doit être saine (pas d'effritement), non poreuse, non cassante, et posséder un système d'accrochage (ergots) en bon état. Lors de la pose, procéder à un panachage pour éviter les "zonages" ou les "chemins" provoqués par des tuiles d'origines et de coloris divers.
- Si la couverture est en trop mauvaise état et que la proportion de tuiles récupérables s'avère négligeable (pas plus d'un tiers de la surface), il faut les remplacer par des tuiles neuves ou de récupération (si on a la chance de trouver un lot en bon état et à un prix accessible). Le chevronnage doit être traité avec un produit insecticide et fongicide après la découverture.Devis & déplacement gratuit sur toute l'ile de france.

                                        Visitez notre site internet http://www.vd-couverture91.fr/

jeudi 26 septembre 2013

VERIFIER LE CONDUIT DE CHEMINÈE


N’OUBLIEZ PAS DE CONTROLER VOTRE CHEMINÈE

N’ATTENDEZ PLUS UN FEU DE CHEMINÈE ,POUR CONTROLER VOTRE CONDUIT DE FUMÈE.image

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Un conduit de fumée doit etre vérifier 1 fois par an,selon vd-couverture91

Le conduit de cheminée ou conduit de cheminée est un élément essentiel de la maison. Autrefois construits en pierres, en briques, en ciment et souvent intégrés dans les murs de l’habitation, les conduits de fumée sont aujourd’hui fabriqués en acier inoxydable. Ce matériau est mieux adapté à l’évolution des appareils de chauffage et des méthodes de construction modernes.
En règle générale, le système d’évacuation des fumées est composé d’un conduit de raccordement ,d’un conduit de fumée isolé et d’une sorie de toit.
Le conduit de cheminée a pour fonction principale l’évacuation des produits de combustion d’un générateur ou appareil de chauffage. Cet appareil peut fonctionner au bois au gaz au fioul et éventuellement au charbon (ce combustible n’est utilisé que dans des pays riches en charbon et dans des pays émergents). Les fumées sont généralement très chaudes mais peuvent également être à des températures inférieures à 100°C dans le cas des chaudières à condensation.
Le conduit de fumée assure votre sécurité tout en garantissant la performance de votre appareil de chauffage. Il participe donc, à la maîtrise de votre consommation d’énergie et à la diminution des émissions polluantes. Le conduit de cheminée permet par ailleurs le libre choix de l’énergie en s’adaptant aussi bien à une chaudière gaz qu’à un poêle à bois. La présence d’un conduit dans votre maison vous permet de changer d’énergie et d’opter pour la plus compétitive.
Le conduit de cheminée doit faire face à tous types d’agressions durant sa durée de vie : hautes températures et éventuellement feu de cheminée (inflammation d’imbrûlés s’étant déposés sur les parois du conduit), formation de bistre, humidité par voie de pluie ou de condensation, ramonage mécanique et chimique (déconseillé), attaques corrosives, UV, vent, chocs et phénomènes sismiques…
De part leur conception et leur résistance structurelle, les conduits de fumée  en acier inoxydable sont les mieux adaptés pour faire face à tous ces phénomènes. Ils vous garantiront de longues années de satisfaction, de sécurité et de confort.

Les exigences essentielles du conduit de fumée.image

- Le conduit de fumée doit protéger les biens et les personnes des émanations gazeuses issues de la combustion ainsi que de la propagation éventuelle du feu. Il doit résister aux hautes températures et aux chocs thermiques tout en assurant une bonne étanchéité dans le temps. Il assure ainsi un excellent niveau de sécurité et de confort.
- Le conduit de fumée doit garantir le bon fonctionnement de l’appareil de chauffage en assurant un bon tirage et une montée rapide en température grâce à une paroi intérieure lisse et une bonne conductivité. Un fonctionnement optimisé du conduit permettra d’abaisser les consommations d’énergies, tout en diminuant les coûts d’entretien et en allongeant la durée de vie de l’appareil.
- Le conduit de fumée doit être conçu pour durer grâce à une grande résistance aux hautes températures, à l’humidité et aux agressions en tous genres (vents forts, UV, chocs, tremblements de terre, acidité des fumées…). L’entretien du conduit devra être simple et rapide. Il devra être facilement démontable pour assurer les opérations de maintenance ou de remplacement à moindre coût.
- Le conduit de fumée doit posséder une stabilité mécanique satisfaisante quelque soit la hauteur.
- Le conduit de cheminée doit respecter l’environnement en étant léger, durable, recyclable tout en optimisant les performances des appareils de chauffage et permettant le libre choix de l’énergie. Ainsi, il sera possible de changer son système de chauffage en fonction du coût des énergies sans travaux lourds et complexes.
- Le conduit de fumée doit apporter une satisfaction durable à l’utilisateur grâce à une esthétique, des matériaux et une finition soignés se mariant avec toutes les architectures et les intérieurs.
 Un soin tout particulier est apporté au choix des matériaux et à la qualité des assemblages dans le cadre d’une démarche d’éco-conception.

Les contraintes techniques et réglementaires liées à l’installation d’un conduit de cheminée.image


Dépassement de faîtage :
La partie extérieure du conduit de fumée (sortie de toit ou souche de cheminée) doit dépasser d’au moins 0,40 m le faîtage du toit et toute partie de construction distante de moins de 8 m, sauf prescription contraire (par exemple pour les conduits ventouse ou dans le cadre d’un avis technique).

Distance vis-à-vis des matériaux combustibles :
La distance de sécurité dépend de la résistance thermique du conduit et de la température des produits de combustion. En règle générale la distance doit être au minimum de 8 cm dans tous types de construction, y compris à ossatures bois.

Dévoiements :
Pour les conduits de cheminée individuels métalliques, les dévoiements ne sont autorisés que dans certaines conditions. Le conduit de cheminée ne doit pas comporter plus de 2 dévoiements de hauteur inférieure ou égale à 5 m et ne pas excéder 45°.

Débouché du conduit de cheminée et finition plafond :
Le conduit de cheminée doit déboucher dans l’intégralité de sa section extérieure dans le local où sera situé l’appareil ou la cheminée. La liaison ne devra pas se situer dans l’épaisseur du plafond ou dans le volume d’un faux plafond. La jonction du conduit de cheminée et du conduit de raccordement doit donc être positionnée sous le plafond avant la traversée du mur.

Compatibilité avec le bois récomposé : Le conduit de cheminée devra être  garantir une bonne résistance aux hautes températures et être conforme aux normes et réglementations en vigueur (DTU, Loi sur l’air…). Ce marquage est visible sur l’étiquette positionnée sur le conduit.
  Une gamme complète de conduit de cheminée adaptés à tous types d’appareils de chauffage vous est proposée et quel que soit le type de bâtiment en neuf et en rénovation,une large gamme d’accessoires et de finitions permet de réaliser tous types de montages à l’intérieur comme à l’extérieur des bâtiments.

Pourquoi faire le choix d’un conduit de fumée métallique plutôt qu’un autre type de conduit (terre cuite, béton, céramique, plastique etc).image

Pour leur sécurité : les conduits de fumée métalliques résistent aux hautes températures sans ajout de matériaux type colle, ciment ou mastic qui se dégradent avec le temps. Ils garantissent un haut niveau de sécurité et de fiabilité à long terme. L’acier inox utilisé et l’isolation en laine de roche garantissent une sécurité de fonctionnement optimale et une longévité maximale.
Pour leur souplesse d’implantation : les conduits de cheminée  offrent un poids réduit (10 fois moins lourd qu’un conduit maçonné de diamètre équivalent), un libre positionnement en toiture, un dévoiement possible à 45° et un gain de place dans le logement. En outre, ils sont ajustables, démontables et déplaçables.
Pour leur esthétique : les conduits de fumée sont disponibles dans un grand choix de coloris pour le bâtiment (inox, noir mat, etc.) et dans de nombreuses finitions en toiture (sorties de toit classiques, régionales, personnalisables…).
Pour leur performance et leur économie : des études notamment menées avec  ont prouvé que les conduits isolés  garantissaient un rendement supérieur à une installation en boisseaux maçonnés.
Pour leur rapidité de mise en œuvre : grâce à un poids réduit et une large gamme d’accessoires, les conduits de fumée  s’installent rapidement et sans travaux de gros œuvre ou de charpente que ce soit en neuf ou en rénovation.

La sécurité des biens et des personnes.image

L’acier inoxydable t apporte une réponse parfaitement adaptée aux agressions subies par le conduit de fumée : résistance aux très hautes températures (> 1 000°C) et au feu, aux efforts mécaniques (chocs, torsion, traction), à l’humidité (pluies, condensation). L’isolation à l’aide de laine de roche haute densité protège les matériaux combustibles tout en assurant un excellent tirage.
L’isolation du conduit joue un rôle primordial pour la sécurité de l’habitation : en absence d’isolation, une installation de chauffage peut présenter un risque important d’incendie.
Les conduits de fumée  assurent un haut niveau d’étanchéité sans ajout de matériaux type colle, ciment ou mastic qui se dégradent dans le temps. Ils garantissent un haut niveau de sécurité et de fiabilité à long terme.
Concernant la température de surface des conduits de fumée, ceux-ci doivent être soit protégés par un habillage isolant, soit dissimulés dans un coffrage ou une gaine. Cela permet de garantir une température superficielle de la paroi de l’habillage inférieure ou égale à 50°C dans les parties habitables ou inférieure ou égale à 80°C dans les parties non habitables.
 Les garanties suivantes : - des produits constitués de matériaux de 1er choix et assemblés dans des usines certifiées
- des emboîtements calibrés et étanches grâce à un outillage de haute précision
- des colliers d’assemblage résistants et équipés d’une goupille de sécurité
- une isolation haute densité sans liant assurant un excellent tirage et une protection optimale des matériaux combustibles

Performance et économies d’énergie.

Un bon conduit de fumée permet de réaliser jusqu’à 15% d’économie d’énergie.
Les conduits de cheminée  bénéficient d’une paroi intérieure parfaitement lisse favorisant ainsi la bonne évacuation des fumées. Le tirage de la cheminée est optimisé grâce à un large choix de diamètres de conduits  et à une isolation haute densité. Les conduits atteignent rapidement une température idéale de fonctionnement qui favorise le meilleur rendement de votre système de chauffage.
Ainsi, vous profiterez immédiatement des performances de votre appareil de chauffage tout en optimisant votre budget énergétique.

Durabilité et respect de l’environnement.
Les conduits de cheminées sont conçus avec des matériaux de qualité soigneusement sélectionnés pour résister aux plus hautes températures.
Une expérience de plus de 30 ans garantit un très bon vieillissement tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des bâtiments quelles que soient les conditions climatiques.
Les conduits de cheminée  optimisent les performances des appareils et participent à la diminution des émissions polluantes. En fin de vie, les produits se recyclent facilement à plus de 97%.
Rapidité d’installation et facilité d’entretien.
Les conduits isolés métalliques  sont polyvalents et permettent le libre choix de l’énergie de la maison. Ils s’adaptent à la plupart des combustibles et des appareils et à toutes les températures de fonctionnement. Grâce à un poids réduit et une large gamme d’accessoires, les conduits de cheminées s’installent rapidement et sans travaux de gros œuvre ou de charpente. L’installation d’un conduit de fumée métallique est donc aisée dans le neuf mais également en rénovation.
En outre, les conduits de cheminée sont démontables ce qui simplifie les opérations d’entretien et de remplacement. La paroi intérieure lisse du conduit limite l’encrassement et facilite grandement les opérations de ramonage.
Satisfaction et valorisation.image
Le conduit de fumée participe à l’esthétique de la maison. 
Les conduits métalliques  offrent un très large choix de formes et d’esthétiques (peintures, finitions, sorties de toit…) permettant de répondre aux exigences les plus variées. Qu’il s’agisse d’une maison traditionnelle ou d’une maison d’architecte, vous trouverez une offre adaptée et facile à mettre en œuvre.
Faire le choix d’une marque connue et reconnue pour sa qualité telle que Poujoulat permet de valoriser sa maison et en facilite la revente.

- des matériaux de qualité assemblés avec soin
- un large choix de formes et de finitions pour les conduits et les sorties de toit
- des produits exclusifs, conçus par des designers et finis à la main
- une marque leader reconnue pour sa qualité et sa fiabilité
- un fonctionnement optimisé du système de chauffage assurant confort et sécurité
- des performances validées en laboratoire
- une fabrication française

L’utilisation et l’entretien d’un conduit de cheminée.image

Afin de garantir un bon fonctionnement du système de chauffage il est nécessaire de respecter certaines règles d’utilisation et d’entretien concernant le conduit de fumée :
- utiliser un combustible de qualité car un bois traité par exemple peut endommager l’appareil et le conduit,
- utiliser du bois sec de préférence du chêne ou du hêtre car un bois humide (moins de 2 ans de séchage) peut encrasser votre installation,
- ne pas surcharger l’appareil car cela peut entraîner une surchauffe et endommager l’appareil et le conduit. Si vous utilisez des buches recomposées, ne chargez pas plus de 1 à 2 bûches à la fois en fonction de la puissance de votre appareil,

- le ramonage du conduit doit être effectué deux fois par an dont une fois pendant la période de chauffe. Il doit être effectué par une entreprise qualifiée qui remettra à l’usager, après intervention, un certificat de ramonage,en cas d’incendie(ne pas oublier de remettre une photo copie du certificat à votre assureur)
- éviter d’utiliser les bûches de ramonage à base de produits chimiques qui sont peu efficaces et insuffisantes au regard de la réglementation en vigueur. De plus ces produits peuvent endommager votre installation.

Pour votre sécurité.


Bien entretenu, votre conduit de fumée vous donnera de nombreuses années de satisfaction tout en participant activement à vos économies d’énergies.Ne faites pas l’économie d’un bon conduit de fumée : les performances de votre appareil de chauffage s’en trouveront dégradées (surconsommation, encrassement, durée de vie réduite…), votre sécurité ne serait pas optimale (risque d’intoxication ou d’incendie).
Alors un simple controle de votre souche ou pied de cheminée par VD-COUVERTURE91,vous aideras à passer un hiver serein en toute sécurité . CONTACT  VD-COUVERTURE91  SITE INTERNET  http://www.vd-couverture91.fr image

mercredi 25 septembre 2013

LA MAITRISE DE L'ARDOISE


POSE DES ARDOISES

La pose des ardoises par vd-couverture91 site web

 

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Le degré de la pente du toit conditionne le recouvrement (le pureau : partie visible de l’ardoise). Pour ces ardoises (22 x 35 cm en 4 mm d’épaisseur) et compte tenu d’une pente faible de 27° (c’est le minimum admis pour des ardoises), le pureau est de 11,7 cm, soit 1/4 de leur longueur, et le recouvrement égal aux 3/4. En effet, plus la pente d’un toit est faible, plus le recouvrement doit être important. (A titre de comparaison, pour une pente de 45°, le pureau serait d’1/3 de la longueur et le recouvrement de 2/3.) Les ardoises sont posées ici avec des crochets inox à agrafes, teintés en noir pour se fondre dans le matériau. Le crochet mis en pression enserre le liteau avec l’agrafe en partie haute et maintient la base de l’ardoise avec la pince.
Toutefois sur les rives et le premier rang des deux versants, elles sont clouées avec des pointes en cuivre à tête plate (L 27 mm). Un outillage spécifique permet de les percer et de les couper. La pose démarre en bas du versant et sur un côté, après avoir établi des repères perpendiculaires à la ligne de faîtage et à l’égout. Les angles extérieurs des ardoises posées en rive sont coupés en biais pour former une goutte d’eau qui évite la pénétration de l’eau par ruissellement. Celles du dessus ne présentent plus qu’un angle coupé dissimulé par le recouvrement de l’ardoise suivante. Chaque rang se pose à joints décalés avec un espacement de 3 mm.
Photo : Un liteau ajouté en partie basse sert de support aux crochets (espacés de 33 cm) et permet de les fixer selon une pente de 3 mm/mètre.
La gouttière  est positionnée. Le liteau de doublis se cloue sur la planche d’égout et dans les contre-liteaux, en recouvrant les crochets.
Une rangée sur deux, on démarre la pose par une demi-ardoise afin de décaler les raccords. Les coupes s’effectuent avec une pince à ardoise.
Les ardoises du premier rang reposent sur le liteau de doublis. Elles sont clouées avec des pointes en cuivre à tête plate. Les angles extérieurs sont coupés en biais.
Du fait de la faible pente du toit, les ardoises se recouvrent sur les 3/4 de leur longueur. Le premier rang est doublé.
Les crochets peints en noir se placent en force pour pincer à la fois l’ardoise en partie basse et le liteau qu’ils enrobent en partie haute.
En rive, l’ardoise clouée déborde de 5 à 6 cm pour protéger le chevron. Un espace de 3 mm entre toutes les ardoises est requis.
La pose s’effectue par « ourne », c’est-à-dire par la portion de toit que peut couvrir un artisan sans se déplacer. On progresse en diagonale.
La toiture est coiffée de faîtières  à boutons en terre cuite émaillée. Elles sont scellées au mortier bâtard. Un about droit accessoirisé (pigeon) orne les extrémités. 
contact : VD-COUVERTURE91 SITE INTERNET http://www.vd-couverture91.fr 

lundi 23 septembre 2013

NETTOYAGE ARDOISES ET TUILES


HYDROFUGATION & DEMOUSSAGE DU TOIT

 DEMOUSSAGE TUILES & ARDOISES PAR VD-COUVERTURE91
COUVERTURE GOUTTIÈRE NETTOYAGE
  • Nous frottons l’extérieur des tuiles avec une brosse dure et de l’eau les taches et les végétaux accrochés, puis rinçage à l’eau de haut en bas
Ou
  • Lavage au nettoyeur “style karcher”(attention aux tuiles, fragiles)
Pulvérisation de l’algicide  sur la couverture par temps clair et en l’absence de ventEnlevons les corps étrangers à l’aide d’une petite pelle et d’un seau, rinçage au tuyau d’arrosage ou nettoyeur basse pression. “Ouvrir le regard pour le laver si besoin.”PRÉSERVATIONAppliquation d’ un traitement hydrofuge pour protéger la toiture et  laisser le temps de sechage pendant 24 heures, puis rincer au tuyau d’arrosage

COMMENT ENLEVER LA MOUSSE SUR LE TOIT 

Avec les intempéries, les mousses, les lichens, les algues ou les champignons se développent et s’attaquent à votre toit.  S’il y a de la mousse sur votre toit, si des champignons ou lichens se sont incrustés sur les tuiles, il faut rapidement  agir et traiter votre toit avant l’hiver. La mousse, par temps humides et froids, risquant de proliférer et de ronger le toit, provoquant décalages des tuiles et donc des infiltrations. 

                

Enlever la mousse sur le toit 

Brosser un toit envahi par la mousse en tentant de détruire la mousse  à l’eau de Javel puis au Karcher est absolument déconseillé. Les tuiles étant poreuses, le jet haute pression, beaucoup trop violent, risque de les détériorer, et les rendre peu étanches.  Quant à la Javel, qui est une vraie catastrophe écologique, non seulement elle peut ronger  les tuiles, mais  en coulant,  certainement elle détériorera vos plantations

Comment enlever la mousse?

Pulvérisation sur votre toit d’un produit anti mousse respectant l’environnement comme le nettoyant mousse anti-moissisures
Ce produit écologique qui détruit les mousses, moisissures,lichens, trainées rouges, algues et champignons et limite leur réapparition.

Comment utilisez l’anti mousse 

Pour traiter  votre toit, nous aurez besoin d’une échelle  de couvreur (pour accéder au toit), un harnais par sécurité (pour nous arrimer autour de la cheminée), et du produit ’antimousse 

Traitez le toit 

Si les mousses sont très épaisses, avant l’application, le plus gros travail sera effectué au balai brosse
Travaux par temps clair, en veillant, lors de l’application, à ne pas pulvériser sur la végétation environnante, les vêtements ou les aliments.
Pulvérisation de l’anti mousse jusqu’à saturation du support.
Temps de repos pour agir environ 30 minutes.
Enlevage des résidus au balai brosse ou laissez faire le temps et les intempéries.
L’intérêt du traitement antimousse 

Le traitement antimousse :

- Prolonge la longévité de votre toiture
- Améliore l’imperméabilité des tuiles
- Empêche les infiltrations et donc évitera les pièces humides, et les moisissures qui abiment murs et tissus et peuvent engendrer des problèmes de santé (asthme, allergies, irritations…).
- Enlève les taches
- Redonne à votre toit son aspect du premier jour durabilité, esthétique du toit… l’entretien d’une toiture est primordial. Un bon entretien de votre toit réalisé par un couvreur professionnel de vd-couverture91 permet d’éviter les fuites

La mousse prolifère sous les tuiles ou ardoises de votre toit. Cela soulève les tuiles et provoque des infiltrations.

vd-couverture91
 intervient sur vos toits pour effectuer un démoussage.

Selon la nature de la mousse (lichen, végétation) nos artisans couvreurs grattent ou passent le karcher ou nettoyeur à faible pression avant de pulvériser un anti-mousse.
  • Imperméabilisation de toitures,
  • Démoussage de toitures,                 
  • Traitement hydrofuge de toitures.

Nous n’utilisons que des produits BIO pour traiter et entretenir vos toitures

Confiez l’entretien de vos toitures à un professionnel de la couverture VD-couverture91 site internet http://www.vd-couverture91.fr 

Couvreur,le métier qui monte


COUVREUR LE PRO DE LA TOITURE

VD-COUVERTURE91
Outre le fait de poser le toit de manière à ce qu’elle soit parfaitement étanche, l’ artisan couvreur zingueur œuvre aussi pour réparer ou encore rénover la toiture. Dans ce cadre, l’ artisan couvreur zingueur de vd-couverture91 rend à la toiture son aspect esthétique tout en veillant à ce qu’elle soit suffisamment solide et étanche.

ARTISAN COUVREUR ZINGUEUR

L’artisan couvreur zingueur de vd-couverture91 est sans nul doute votre meilleur allié pour une meilleure pose de votre toiture ainsi qu’une qualité optimisée de cette dernière. Pour avoir accès aux services d’un artisan couvreur parfaitement qualifié pour répondre à vos aspirations, ayez recours à un véritable professionnel : l’expérience et le savoir-faire vd-couverture91 se mettent à votre disposition pour vous conseiller, vous aider à concevoir votre toiture, pour la réparer, l’entretenir ou encore pour la rénover.

Le métier de couvreur  

Le métier d’ artisan couvreur  à vd-couverture91  consiste à faire usage de plusieurs matériaux pour combler les espaces vides d’un bâtiment. Les matériaux ont pour dessein de former la toiture du bâtiment et peuvent être  de la tuile, de l’ ardoise, du zinc ou autres. Le rôle de l’ artisan couvreur zingueur est, de ce fait, d’assurer la pose de la toiture d’une construction. Parallèlement à cela, un artisan couvreur zingueur doit aussi garantir l’étanchéité de la toiture de manière à ce que l’intérieur du bâtiment soit isolé de la pluie ou de la neige.
 Les différents métiers d’artisans couvreurs    
Il existe plusieurs catégories d’artisans couvreurs. Parmi les catégories, on peut, par exemple, retrouver les métiers de zingueur ou d’ardoisier. Ce dernier consiste à faire usage de l’ardoise pour constituer la toiture d’une construction. Mais le rôle de cet artisan couvreur ne se cantonne pas à cela car il lui incombe aussi de préparer le support, de conférer aux ardoises leur aspect final et de les fixer.
Parmi les artisans couvreurs, il est aussi possible de retrouver des couvreurs de toitures en pentes. Le métier de cette catégorie d’ artisan couvreur puise sa particularité dans le fait qu’il travaille sur les toits en pentes. Et de cette particularité découlent les caractéristiques des fonctions de cette profession : isolation du toit, mise en place de la sous-toiture, travaux de finition.
Outre ces deux métiers, on notera qu’il existe encore d’autres métiers d’artisan couvreur.

Comment bien choisir un bon artisan couvreur 

Un bon artisan couvreur est celui qui saura procéder à la pose de la toiture ainsi qu’à sa rénovation ou à son entretien selon certaines normes : l’ artisan couvreur doit, par exemple, œuvrer de manière à ce que la toiture soit étanche et solide. Outre cela, le couvreur de vd-couverture91 doit pouvoir répondre aux exigences du propriétaire sans pour cela négliger la qualité de son travail.
Pour être sûr de bénéficier des services d’un bon artisan couvreur, le meilleur geste consiste à faire appel à un professionnel en la matière.
Vous êtes à la recherche d’un bon artisan couvreur ? Grâce à vd-couverture91, vous trouverez enfin un professionnel qui saura répondre à vos attentes en matière de toiture : la qualité et l’esthétique répondront au rendez-vous. Professionnel ou particulier, vous serez ravis de constater les merveilles que peut accomplir vd-couverture91. N’oubliez pas de rendre une visite sur le site internet http://www.entreprisedecouverture91.fr 


dimanche 22 septembre 2013

TOIT EN AMIANTE DANGER


TOIT EN AMIANTE = DANGER

DANGER AMIANTE

                                                               http://www.vd-couverture91.fr 
La fibre-ciment, généralement appelé fibro-ciment a été beaucoup utilisée par les couvreurs…jusqu’à ce que l’on se rende compte de la toxicité de l’amiante. On reconnaît la fibre-ciment à sa couleur grise ; elle est souvent posée en plaques ondulées et plus rarement en tuiles.
Entretenir sa toiture en fibro-ciment
 
Toutes les toitures en fibre-ciment posées avant 1997 (date de l’interdiction par le décret n°96-113 du 24 décembre 1996) contiennent de l’amiante, il faut donc prendre quelques précautions dans l’entretien.
Elle a quand même deux qualités : souplesse et économie. Simplement, la présence d’amiante dans ce matériau exige une grande sécurité quand on la manipule. Ainsi, on évitera de monter dessus (c’est très fragile), de la découper et surtout, de nettoyer les mousses et lichens au nettoyeur haute pression.
Si vous souhaitez la nettoyer, n’utilisez qu’un nettoyeur moyenne pression. Si le décapage est trop fort, les capsules d’amiante présentes dans le matériau se propagent dans l’environnement proche de la toiture .Vous courrez un danger, l’environnement aussi.
De votre côté, veillez à vous protéger : tenue étanche, masque respiratoire, lunettes et gants sont la base de la protection.
Il est essentiel d’éviter que l’amiante ne parte de la toiture. Pour cela, il faut encapsuler l’amiante dans le matériau (éviter sa propagation). Le matériau doit donc être en bon état et à l’abri des pluies et des dégradations. Pour cela, vd-couverture91 pose l’hydrofuge  pour votre toiture : le fait que l’hydrofuge imprègne jusqu’à saturation vient emprisonner l’amiante : le risque est grandement diminué.
Tous nos chantiers sont réalisés par des professionnels : ils s’assurent de la protection de la maison, de la nature et de la leur. Un chantier amiante est exigeant en terme de sécurité : faites appel à Technitoit pour entretenir votre toiture fibro-ciment.
En résumé :
. Les toitures fibro-ciment d’avant 1997 contiennent de l’amiante.
. L’amiante est un risque quand on manipule les plaques (nettoyage inadapté, marcher dessus, les taper au marteau…)
. Encapsuler l’amiante dans le matériau évite sa propagation : c’est ce que fait 
l’hydrofuge  Toiture.
L’amiante est une substance cancérigène et un produit dangereux pour l’environnement; faites appel à vd-couverture91 pour une expertise et une proposition adaptée.Site internethttp://www.vd-couverture91.fr 
ASPECT TECHNIQUE

Il faut déjà avoir une idée générale de l’état de sa toiture avant d’entreprendre n’importe quels travaux. Pour cela, rien de plus simple que d’aller voir de plus près : repérage de trous, vérification du chainage, du faîtage, gouttière….

L’inconvénient des plaques fibro réside dans le fait, qu’en vieillissant, elles deviennent poreuses ! Il faut donc voir, lors de gel ou de fortes pluies, si l’intérieur de vos plaques reste mouillé (côté habitation).

NETTOYAGE


Lors que vous avez vérifié l’état de votre toit, il faut procéder à un grand nettoyage.
Il faut enlever la mousse qui a dû s’accumuler avec le temps et qui favorise l’humidité (attention pas de nettoyage haute pression si présence d’amiante).

Ensuite, vous pouvez passer un produit anti mousse à l’aide d’un pulvérisateur (inférieur à 4bar). Il est souvent nécessaire de passer 2 couches par temps sec, afin que le produit agisse au mieux (effet curatif avec élimination de champignons, mousse, lichen et effet préventif durable…). Le mieux étant, bien évidemment de se référer à la notice du produit.

Un nettoyage régulier des gouttières est également un élément indispensable.

IMPERMEABILISATION


Sous les effets des intempéries, les matériaux vieillissent et s’abîment. En prévention, ou en rénovation, il faut passer un produit hydrofuge qui va durcir le matériau mais également faciliter le ruissellement des eaux et donc réduire le temps de séchage des plaques (lors de gels, pluies…). Ce qui améliorera vos éventuels problèmes de condensation et d’humidité. Attention à bien prendre un produit perméable à la vapeur d’eau afin que votre toiture puisse toujours respirer.

ECRAN SOUS TOITURE


Si malgré tout cela vos plaques restent poreuses, il faudra envisager la pose d’un écran sous-toiture, entre les chevrons et vos plaques. Cette opération reste délicate à effectuer puisqu’il faut détoiturer, poser l’écran sous-toiture et remettre les plaques fibro.

Attention à bien prendre un écran HPV, c’est-à-dire qui laisse respirer votre isolant, sous peine d’avoir des problèmes de condensation !

De l’intérieur de la maison vers l’extérieur, vous devrez avoir :
- revêtement final (placoplatre par exemple)
- pare vapeur + isolant (souvent accrochés ensemble)
- lame d’air ventilée de 2cm
- écran sous toiture
- lame d’air ventilée de 2cm
- plaque fibro.
Demandez à un proféssionnel,”car amiante =danger”  vd-couverture91 vous aideras pour toutes vos démarches  via son site web: